La steppe, les chevaux, l’enfance et une musique lyrique : à partir de ces ingrédients plutôt communs du cinéma mongol, le cinéaste parvient à composer un conte touchant, histoire d’un pré-adolescent qui rejoint sa famille nomade après la mort de l’oncle qui l’a adopté et élevé. D’abord triste et effarouché, l’enfant renoue peu à peu avec son père à l’approche d’une prochaine course de chevaux.